Aménagement de nouvelles infrastructures pour le centre de sauvegarde de la faune sauvage (76)

Aménagement de nouvelles infrastructures pour le centre de sauvegarde de la faune sauvage  (76)

Une augmentation de l’accueil

Notre Centre de Sauvegarde se développe depuis l’ouverture de l’association. De nombreuses installations ont vu le jour en intérieur (salle de soins, le couloir des boxes, la nurserie oiseaux, la quarantaine phoques, la nurserie mammifères, l’animalerie et la cuisine) et en extérieur ( une piscine carrée, 12 petites volières, 10 petites petites volières, 2 taquets passereaux, 4 volières bassins, une volière tunnel, une piscine tunnel, une volière colombidé, un taquet des rapaces et 16 enclos mammifères). Afin de répondre à l’accroissement des accueils, nous souhaitons faire l’acquisition du terrain limitrophe pour construire de nouvelles infrastructures.

Notre projet

L’achat d’un terrain agricole limitrophe à notre Centre de Sauvegarde a un coût de 15 000€. Sur cet espaces les équipements suivants seront aménagés :

Une 2ème piscine tunnel pour l’accueil des phoques.
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Il y a trois ans, le centre de soin de Picardie Nature a fermé ses portes. Spécialisée dans l’accueil des phoques comme le CHENE, l’équipe de cette association partenaire effectue désormais le rapatriement des individus en détresse vers notre Centre de Sauvegarde ou celui de la LPA de Calais. Nous connaissons donc un accroissement de l’accueil de ces animaux qui nécessitent des infrastructures optimales. Cette piscine sera assez longue pour permettre de muscler les animaux en soin et sera dotée d’un nouveau système de filtration pour faciliter l’entretien.

Coût : 30 000 euros

Deux volières tunnels pour la rééducation des oiseaux et une volière à rapaces
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Les rapaces nécessitent des structures adaptées à leur système de vol. Les volières tunnels ne sont pas l’idéal pour les rapaces puisqu’il ne faut surtout de la hauteur. Notre objectif est qu’ils se musclent en réalisant de grands mouvements de haut en bas, nos volières tunnels ne sont donc plus adaptées à ce nouveau protocole de soin que nous souhaitons mettre en place.

Coût des volières tunnels : 20 000 euros

Coût de la volière à rapaces : 20 000 euros

Qui sommes nous ?

Le Centre d’Hébergement et d’Etude sur la Nature et l’Environnement (CHENE) est une association qui oeuvre depuis 38 ans pour la sauvegarde de la faune sauvage normande et l’éducation à l’environnement. Elle est composée de 9 salariés et bénéficie du soutien de 120 bénévoles par an.
Le centre dispose d’un Musée de la Nature valorisant la faune sauvage sous diorama. Une équipe d’animateurs nature propose des animations pour tous les publics scolaires, centre de loisirs et grand public.
Pour la sauvegarde de la faune sauvage, le centre dispose d’une clinique et de multiples structures permettant l’hébergement des animaux dans les meilleures conditions possibles. Notre association a été créée en 1980 sur la problématique des dégazages en mer et leurs conséquences sur la faune marine. Notre association ayant innové à cette époque avec « la machine à laver les oiseaux ». Aujourd’hui nous recevons environ 2000 spécimens par an de toutes sortes à l’exception du grand gibier. La répartition est de 80% d’oiseaux et 20% de mammifères. Chez les oiseaux, nous dénombrons 20% de marin, 15% de rapaces et 65% d’autres espèces. Le centre accueille les mammifères y compris les mammifères marins. Cela fait plus de 30 ans que le CHENE accueille des phoques. Le taux de réussite du CHENE est de l’ordre de 50% en données brutes, il passe de 75% à 98% en fonction des espèces en données corrigées. Le CHENE participe également à de nombreuses études scientifiques nationales et internationales et assure, via nos accueils, une veille sanitaire de la faune sauvage et a un agrément régional pour ses activités.
Plus d’informations sur notre site internet : www.associationchene.com

En 10 ans, les accueils ont augmenté de 35% et près de 50% d’augmentation en 20 ans. Nos structures d’accueils actuelles sont régulièrement auditées et rénovées toutefois le manque d’espace commence à se faire cruellement sentir. Aujourd’hui, nous avons besoin de nouvelles infrastructures au vu des nombreuses espèces accueillies quotidiennement.
Contact ANBDD
Didier Féray
Président de l’association Chêne