Le #BiodivHebdo

Le #BiodivHebdo est un média issu des indicateurs de la biodiversité produits et diffusés par l’ANBDD dans sa mission connaissance de la biodiversité régionale.
Chaque semaine – ou presque – le #BiodivHebdo met en avant une donnée récente sur la biodiversité normande issue d’indicateurs produits par un réseau de structures naturalistes régionales.
Cette publication est spécifiquement adaptée aux réseaux sociaux pour donner un condensé d’information très visuel et accessible à tous les normands.

L’objectif ?

Susciter la curiosité, découvrir la richesse de la biodiversité de Normandie et des chiffres-clés étonnants, sous une forme ludique mais sérieuse. Un média scientifique, visuel, clair et surprenant et parfois drôle, à partager et relayer sur les réseaux sociaux :

Biodiv’hebdo de #111 à #120

15 novembre 2024 – Plus de 2 millions de données naturalistes sur ODIN !

Depuis septembre dernier, la version définitive de la nouvelle plateforme régionale du SINP en Normandie, ODIN, a complètement basculé sous GeoNature (https://odin.anbdd.fr). Cette version s’accompagne de la gestion des données sensibles, ce qui nous à permis d’intégrer certaines données mis à l’écart lors de la mise en ligne la version beta de la plateforme. En plus des données sensibles la plateforme a accueilli 730 000 données supplémentaires depuis avril.
Au total, 2 154 418 données #faune sont accessibles pour informer et orienter les acteurs du territoire dans leurs démarches en faveur de la #biodiversité.
8 novembre 2024 – Fragmenter nuit gravement à la santé (de la biodiversité).
La destruction et la fragmentation des milieux naturels est la première cause d’érosion de la biodiversité. Pour être évaluée, la fragmentation des espaces naturels est calculée grâce à la taille effective de maille. Il s’agit de la taille qu’auraient les fragments d’espaces naturels s’ils avaient tous la même surface, au sein du territoire étudié. Cet indicateur reflète à la fois la surface des espaces naturels dans le territoire et leur degré de découpage.
Ainsi, avec une surface effective de maille non fragmentée égale à 16,6 km² en 2023, la Normandie est une région fortement fragmentée. Ce chiffre témoigne de la faible continuité entre les espaces naturels normands provoquée par la présence importante de territoires artificialisés, agricoles , d’infrastructures de transport (routes, voies ferrées, canaux…) ou bien encore la multiplication de parcs éoliens.
27 septembre 2024 – Les bonnes ondes des mares en Normandie
40 % des mares qui sont encore présentes en #Normandie sont menacées à court terme. Face à ce constat et grâce à l’accompagnement du Conservatoire d’espaces naturels de Normandie dans le cadre du PRAM Normandie, les acteurs du territoire tentent d’apporter des réponses. Pour cela, un certain nombre de territoires s’impliquent dans la mise en place de plans d’actions en faveur des mares (PAM).
Ces plans, qui peuvent être annuels ou pluriannuels, permettent aux territoires de réaliser des actions concrètes de préservation de ces milieux d’importance. Ainsi, en 2023, ce sont 268 mares qui ont été créées ou restaurées dans la région.
13 septembre 2024 – Des petits trous, des petits trous, toujours des petits trous…
Depuis 2021, plus de cent hectares de forêts protégées ont fait l’objet d’inventaires par l’agence territoriale d’Alençon de l’ONF (Office National des Forêts) et le Syndicat Mixte des Espaces Littoraux de la Manche (SyMEL) en mobilisant les techniciens et leurs stagiaires, ainsi que les étudiant(e)s du Master AETPF de Caen et ceux du BTS GPN de Sées encadrés par leur professeur.

Ces inventaires ont permis d’identifier 6 500 dendromicrohabitats (DMH) appartenant à 46 des 47 types existants en Europe. Ces premiers résultats ont ainsi révélé que dans un hectare de forêt protégée normande on rencontre en moyenne 22 arbres porteurs de DMH, soit légèrement au-dessus du seuil minimal à atteindre pour avoir des effets maximisés sur la biodiversité. Ces inventaires ont également permis une approche qualitative en hiérarchisant l’originalité des DMH à l’échelle régionale.
19 juillet 2024 – Lauréat Territoire Engagée pour la Nature depuis de nombreuses années et collectivité modèle dans le domaine, la Communauté de communes Falaises du Talou poursuit son engagement avec une opération en faveur de la préservation des rapaces nocturnes.

Une action réalisée en partenariat avec le Groupe Ornithologique Normand a ainsi mené, après diagnostic des sites potentiels, à la pose de 35 nichoirs pour les Effraies des clochers dans des églises, des exploitations agricoles et des entreprises du territoire. La raréfaction des sites de nidification est un problème pour cette espèce inféodée au bâti rural traditionnel. Cette initiative a connu un franc succès puisque 32 jeunes sont nés en 2024 et ont été bagués dans le cadre d’un suivi scientifique coordonné par le Muséum national d’Histoire naturelle.
15 juillet 2024 – 63000 mares référencées dans la base de données du PRAM

Début 2024, 62 875 mares étaient référencées dans la base de données du Programme Régional d’Actions en faveur des Mares (PRAM) de Normandie en tant que mares potentielles, vues ou caractérisées. Selon la bibliographie, il est estimé qu’elles seraient plus de 160 000 sur l’ensemble de la région ! Ainsi, près de 61 % des mares resteraient encore à répertorier sur le territoire normand ! À noter toutefois que sur les 39 % de celles qui sont référencées dans la région, 38 % sont caractérisées, c’est à dire qu’elles sont connues finement.

Améliorer la connaissance sur les mares, connaître leur nombre, leur répartition et leur état sont quelques unes des missions du PRAM de Normandie. Afin de dresser un état des connaissances acquises sur les mares et de présenter, sous la forme de retours d’expériences, certaines actions de préservation de ces milieux, une publication vient d’être rédigée par le Conservatoire d’espaces naturels de Normandie, structure animatrice de ce programme régional, et ses partenaires.
28 juin 2024 – Les Espaces Naturels Sensibles de l’Orne, plus de 200 000 visiteurs en 2023 !
Landes et grandes forêts, marécages et torrents, l’Orne a un patrimoine naturel dense et diversifié. Sur son territoire, le département conduit une politique de préservation des espaces naturels remarquables, d’intérêt écologique ou paysager. Il acquiert des terrains délaissés et impropres à la culture, dont la richesse floristique et faunistique est menacée de disparition par manque d’entretien : ces terrains sont alors classés Espaces Naturels Sensibles (ENS).
Le département assure la gestion écologique et l’aménagement des ENS pour les ouvrir au public. Ses priorités : restaurer les écosystèmes (landes, tourbières, pierriers…), préserver ces viviers pour la biodiversité, lieux de refuge pour des espèces menacées (plantes carnivores, argus bleus…), organiser l’accueil du public et les scolaires (sites d’information et de sensibilisation, guides, documents d’information…).
À ce jour, le département compte 40 espaces naturels sensibles dont 26 sont ouverts au public en visite libre ou en visites guidées. Pour les sites ouverts, l’opération est un succès : plus de 150 000 personnes (visites libres et guidées, grand public et scolaires confondus) les fréquentent chaque année, signe de l’intérêt croissant des Ornais pour leur patrimoine naturel.
Plus d’info : Découvrir les Espaces Naturels Sensibles de l’OrneDécouvrir l’ensemble des actions 2023 menées sur les ENS de l’Orne
12 juin 2024 – Les sites Natura 2000 en Normandie
Outils fondamentaux de la politique européenne de préservation de la biodiversité, les sites Natura 2000 visent une meilleure prise en compte des enjeux de hashtag#biodiversité dans les activités humaines. Ces sites sont désignés pour protéger un certain nombre d’habitats et d’espèces représentatifs de la biodiversité européenne.
Parmi les 94 sites Natura 2000 en hashtag#Normandie, 34 sites, avec une partie marine, sont sous autorité administrative de l’État et 60 sites, exclusivement terrestres, sous l’autorité administrative de la Région Normandie. Ils correspondent approximativement à 7 % de la superficie de la région, et à 25 % des espaces maritimes.
Près de 250 habitats et espèces d’intérêt communautaire dont une majorité d’oiseaux ont justifié la désignation des sites normands.
Plus d’une vingtaine de structures opératrices ou animatrices différentes font vivre ces sites dont 70 sont sous maîtrise d’ouvrage de collectivités territoriales, parmi lesquelles la Région Normandie, ou d’établissements publics de coopération territoriale et 24 sous maîtrise d’ouvrage de l’État.
Plus d’info

Biodiv’hebdo de #101 à #110

4 juin 2023 – 2500 arbres et 27 essences locales à Cormelles-le-Royal !
Lauréate de la reconnaissance TEN 2022-2024, la Mairie de Cormelles le Royal avait inscrit l’extension du bois communal comme un des engagements de son plan d’action TEN. Avec l’appui du Contrat de Territoire signé entre le Département du Calvados et la Caen la mer ainsi que de la Dotation de Soutien à l’Investissement Local (DSIL) du dispositif « France Relance », la commune a planté 2500 arbres sur 2,5 hectares au sud du bois déjà existant. Cette initiative a plusieurs objectifs : permettre à l’avifaune locale de se maintenir, bénéficier de l’ombrage offert par les arbres (îlot de fraîcheur), offrir un lieu de sortie pour les habitants et favoriser la biodiversité dans son ensemble.


L’un des enjeux de cette plantation était la sélection d’essences locales, dont 27 différentes ont été plantées. La continuité écologique avec le bois existant a été pensée à travers la sélection de ces essences locales, choisies pour être similaires et conserver l’identité du bois : poiriers sauvages, charmes, érables, châtaigniers, etc. Des liaisons douces (mixtes public/ vélo) pour la promenade ont également été aménagées, afin de profiter à terme du confort et de l’ombrage du bois, encourageant ainsi les Cormellois à la découverte du paysage et à la richesse de la #biodiversité communale. La participation de la population locale a été encouragée grâce à des plantations participatives impliquant les élèves des écoles communales.
24 mai 2024 – 59 Espaces Naturels Sensibles dans l’Eure !
Avec son plan nature, le Département de l’Eure est engagé dans la préservation de la nature et de la biodiversité. Son action vise autant la protection du patrimoine naturel, l’amélioration des connaissances que la valorisation auprès des habitants.
Parmi ses priorités, figurent le développement et la gestion du réseau des Espaces Naturels Sensibles (ENS). Ils sont riches d’espèces animales et végétales particulièrement rares, d’écosystèmes diversifiés ou encore de paysages représentatifs de l’Eure. Un programme d’intervention est planifié jusqu’en 2030 pour ces 59 sites à haute valeur écologique. Le Département prévoit de dépenser 13 millions d’euros dans la restauration des milieux naturels, l’entretien des sites et l’aménagement pour une plus grande ouverture au public.
11 avril 2024 – Croa-cent-mille données en + grâce aux corbeaux d’ODIN
Depuis un an, la plateforme régionale du SINP en Normandie, ODIN, a basculé sous GéoNature (https://odin-beta.anbdd.fr/atlas/) et a accueilli 350 431 données supplémentaires.
Au total, 1 370 478 données faune sont accessibles (dont 90% disponible sur la nouvelle plateformehttps://odin-beta.anbdd.fr/geonature ) pour informer et orienter les acteurs du territoires dans leurs démarches en faveur de la biodiversité.
Un grand merci à tous les contributeurs, associations naturalistes, services de l’Etat, parcs naturels régionaux et autres collectivités. Parmi les principaux contributeurs de l’année, nous pouvons signaler les versements conséquents du GRETIA, du Groupe Mammalogique Normand, des Plongeurs Naturalistes de Normandie, du Département de l’Orne ou encore les communes de Malaunay, Montville, Amfreville-la-Mi-Voie, Saint-Sauveur-Villages et les intercommunalités de Caux Seine agglo et la Communauté de communes Falaises du Talou pour les données de leur ABC.
6 avril 2024 – Souriez, vous êtes comptés !

Depuis plusieurs années la Fédération de l’Eure pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique s’est engagée dans la réalisation d’un suivi de la recolonisation du bassin versant de la Risle par les poissons migrateurs. Dans ce cadre, un dispositif de comptage et de piégeage des grands migrateurs a pu être installé et mis en service en octobre 2022 sur la Ville de Pont-Audemer.
Au cours de l’année 2023, première année complète de suivi du dispositif, ce sont 3 311 passages de poissons qui ont pu être comptabilisés au niveau de ce dispositif. Parmi ces passages, 765 migrateurs amphihalins ont été comptabilisés en montaison au cours de l’année dont 697 truites de mer confirmant ainsi le fort potentiel de la Risle pour cette espèce en en faisant, d’ores et déjà, une des meilleure rivière française pour ce grand migrateur.
L’ensemble de ces comptages ont également permis d’identifier 23 espèces différentes au cours de l’année. Seul le Saumon Atlantique, dont 1 individu avait été observé en 2022, n’a pas été comptabilisé de nouveau en 2023.
Ce dispositif de vidéo-comptage a été financé par l’Agence de l’eau Seine Normandie, les collectivités piscicoles, les collectivités du bassin de la Risle et a également été inscrit au plan « France relance » mis en place par l’État
28 mars 2024 – Le Département du Calvados gère, la biodiversité prospère !

Les espaces naturels sensibles (ENS) du Calvados sont des sites emblématiques reconnus pour leur intérêt écologique et paysager. Leur double vocation est de protéger le patrimoine naturel tout en permettant l’accès au public, dans la mesure où cela reste compatible avec la préservation des lieux. Le Département du Calvados compte 43 ENS répartis sur plus de 2 043 hectares. Ces espaces offrent une grande variété de paysages et de milieux naturels, allant des zones humides aux rochers de la Suisse Normande, en passant par les dunes d’Omaha Beach ou les berges de l’Orne.
Pour préserver ces milieux, le Département s’engage depuis 1977 à acquérir, aménager et gérer ces espaces. De plus, il propose des sorties pédagogiques dans ces ENS à destination de tous publics durant la période printanière et estivale, en plus de l’accès libre à l’année à un certain nombre d’entre eux.
14 mars 2023 – La loutre et ses amis en Normandie !

Au regard des enjeux régionaux identifiés pour les espèces de mammifère semi-aquatique, la mise en place d’un Plan Régional d’Actions (PRA) s’est révélée nécessaire en Normandie. Ce sont ainsi 6 espèces, aux enjeux de conservation les plus importants, qui ont été choisies pour faire l’objet de ce PRA qui couvre la période 2023/2025 (la Loutre d’Europe, le Campagnol amphibie, le Campagnol aquatique, la Crossope aquatique, la Crossope de Miller et le Putois d’Europe).

Ainsi, dès 2023, plusieurs actions ont été menées sur les différents volets du programme. Sur le volet connaissance : 2 nouveaux fronts de recolonisation de la loutre ont été détectés (sur la Touques et la Dives). Sur le volet protection et gestion conservatoire : 5 formations ont été dispensées à environ 100 professionnels de l’environnement et 4 sensibilisations ont été réalisées, en lien avec l’Office français de la biodiversité 14, auprès de 150 piégeurs.

Un accompagnement technique a également été initié, dans le cadre des chantiers de renaturation ou des diagnostics d’ouvrages d’art , auprès des collectivités, des techniciens rivière, des gestionnaires et des services de l’état (OFB, DDTM, DREAL). Enfin, sur le volet communication et animation, 4 nouveaux havres de paix pour la loutre ont été créés et 3 ENS du calvados sont identifiées pour un conventionnement en 2024.

L’animation du PRA, qui inclut la déclinaison régionale du PNA Loutre d’Europe, est assurée par le Groupe Mammalogique Normand en collaboration avec la CATER Calvados Orne Manche grâce au soutien financier de l’Agence de l’eau Seine-Normandie et de la DREAL Normandie. Le Fonds vert finance par ailleurs la déclinaison des actions en faveur de la Loutre sur le territoire de l’Agence de l’eau Loire-Bretagne (bassins versants de l’Huisne, de la Sarthe, de la Mayenne et du Couesnon).
1er mars 2024 – Les observations du programme Alien Mer Normandie

Depuis le lancement officiel du programme à l’été 2022, 226 observations d’espèces de la liste Alien Mer Normandie ont été répertoriées sur 74 sites différents (28 sites littoraux et 46 sites de plongée). Ces observations, qui ont majoritairement été faites au cours du printemps et de l’été, ont été réalisées par 35 observateurs différents dont deux d’entre eux ont permis la remontée de plus de 50% des observations !

Concernant les espèces, l’ascidie japonaise et la sargasse japonaise ont été les deux espèces les plus fréquemment observées lors de ces deux premières années et, sur cette même période, 5 des 23 espèces de la liste régionale n’ont pas été signalées par le réseau.
23 février 2024 – L’estuaire et ses drôles de drones

La Maison de l’Estuaire, gestionnaire de la réserve naturelle nationale de l’estuaire de la Seine, expérimente pendant 2 ans, l’utilisation du drone sur son territoire.. Grâce à une collaboration avec 3 prestataires spécialisés 10 drones différents ont pu être testés et plusieurs essais ont été menés pour répondre aux besoins croissants de suivi et de gestion sur ce vaste territoire s’étendant sur 8 528 hectares (suivi cartographiques, suivi sanitaire de troupeaux, détection thermique de la faune, dénombrement de colonies d’oiseaux… ). Dans l’ensemble, les résultats se sont révélés concluants : la technologie drone s’est avérée complémentaire aux méthodes traditionnelles, tout en limitant les dérangements sur la faune et en optimisant les temps d’intervention. Ainsi, au regard des gains apportés, le gestionnaire a pris la décision d’acquérir son propre drone et de former, en interne, deux télépilotes. Cet investissement vise à pérenniser l’utilisation de cet outil prometteur, devenu incontournable pour assurer les missions de suivi dans les meilleures conditions.
13 février 2024 – Là où le GONm gère, la biodiv’ est pépère !

En 2023, le réseau des réserves ornithologiques du Groupe Ornithologique Normand (GONm) compte 41 sites regroupés en 25 réserves. Ainsi, le GONm contribue à sauvegarder la richesse de l’avifaune de #Normandie et les milieux nécessaires à sa conservation. Ce sont 835 ha (dont 349 ha en propriété) qui sont gérés par des conservateurs bénévoles et les salariés de l’association. Ces réserves sont, lorsque cela est possible, ouvertes au public ou accessibles lors de visites guidées. Pour en savoir plus sur le Groupe ornithologique normand et sur le réseau des réserves de l’association
6 février 2024 – Ça roule pour la forêt à Epouville (76)

En acquérant le bois du Roulle d’une surface de 4,5 ha, Epouville (76) s’engage fermement dans la préservation de son patrimoine écologique. Cette initiative vise à maintenir une ceinture verte autour de la commune, à éviter les coupes abusives des propriétaires privés et à préserver la biodiversité locale.

La commune adopte une approche minimaliste pour la gestion du bois du Roulle, en abattant uniquement les arbres dangereux près des habitations et de la route départementale. Elle a été appuyée et conseillée par l’ONF (Office National des Forêts) dans ce travail. Le reste de l’espace boisé est laissé à son développement naturel, favorisant ainsi la biodiversité et la régénération des écosystèmes.

Biodiv’Hebdo de #100 à #110

Romain Matton
Romain Matton
Animation de l’Observatoire et du réseau des contributeurs
06 40 73 83 29
Alexandre Dudouble
Alexandre Dudouble
Communication et production médias
02 35 15 78 01