Les friches, les espaces vacants, les ronds-points, les berges, les pieds d’arbres, les toits, les murs végétaux, sont autant d’îlots de nature que l’on aimerait pérenniser, connecter les uns aux autres, mettre en réseau, en systèmes.
Cette nature interstitielle, hors parcs et jardins, est parfois bien inventoriée et identifiée, cartographiée (Trames Vertes et Bleues, Espaces Naturels Sensibles), et parfois elle ne l’est pas (friches temporaires, espaces privés, lieux en déshérence…). Est-ce qu’on vise l’exhaustivité de gestion et d’entretien ? Est-ce qu’on met en
place un système où la nature est « contrôlée », gérée, à toutes les échelles ? Est-ce qu’on peut envisager de ne pas agir et de laisser faire ?
S’intéresser aux formes et espaces de nature « interstitiels », c’est à la fois considérer la biodiversité à toutes les échelles et en système, et considérer le bien-être que chaque portion de nature, aussi infime soit-elle, apporte aux habitants.
Le colloque annuel d’Hortis est organisé avec le département des Hauts-de-Seine.
Programme
Programme détaillé en ligne
Public visé
Collectivités, professionnels des espaces verts, etc.
Sceaux
Association Hortis
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